Zitate von Marquise de Marie de Rabutin-Chantal Sévigné
Ein bekanntes Zitat von Marquise de Marie de Rabutin-Chantal Sévigné:
Du weißt, daß ich es nicht leiden kann, alte Leute sagen zu hören: Ich bin zu alt, um mich zu bessern. Ich würde es viel eher jungen verzeihen, wenn sie sagen würden: Ich bin zu jung.
Informationen über Marquise de Marie de Rabutin-Chantal Sévigné
Schriftstellerin, zählt zum Kreis der Klassiker der französischen Literatur und des Hochadels (Frankreich, 1626 - 1696).
Marquise de Marie de Rabutin-Chantal Sévigné · Geburtsdatum · Sterbedatum
Marquise de Marie de Rabutin-Chantal Sévigné wäre heute 398 Jahre, 3 Monate, 4 Tage oder 145.460 Tage alt.
Geboren am 05.02.1626 in Paris
Gestorben am 17.04.1696 in Schloß Grignan
Sternzeichen: ♒ Wassermann
Unbekannt
Weitere 34 Zitate von Marquise de Marie de Rabutin-Chantal Sévigné
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Je comprends qu'il y a quelque sorte de plaisir dans la plainte, plus grand qu'on ne pense.
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Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singulière, la pus extraordinaire, la plus incroyable, la plus imprévue, la plus grande, la plus petite, la plus rare, la plus commune, la plus éclatante, la plus secrète jusqu'aujourd'hui, la plus brillante, la plus digne d'envie . . .
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Je me trouve dans un engagement qui m'embarrasse: Je suis embarquée dans la vie sans mon consentement; il faut que j'en sorte, cela m'assomme; et comment en sortirai-je?
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Je trouve la mort si terrible, que je hais plus la vie parce qu'elle m'y mène, que par les épines qui s'y rencontrent.
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L'amitié se réchauffe quand on est dans les mêmes intérêts.
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La bise de Grignan me fait mal à votre poitrine.
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La mémoire est dans le cur; car, quand elle ne nous vient point de cet endroit, nous n'en avons pas plus que des lièvres.
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La morale chrétienne est excellente à tous les maux; mais je la veux chrétienne: Elle est trop creuse et trop inutile autrement.
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La vie est pleine de choses qui blessent le cur.
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Le cur n'a pas de rides.
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Mon père disait qu'il aimait Dieu quand il était bien aise; il me semble que je suis sa fille.
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Nous entendîmes, après dîner, le sermon du Bourdalouse, qui frappe toujours comme un sourd, disant des vérités à bride abattue, parlant contre l'adultère à tort et à travers: sauve qui peut, il va toujours son chemin.
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Rien n'est plus capable d'ôter tous les bons sentiments, que de marquer de la défiance.
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Voilà mon ancienne thèse, qui me fera lapider un jour: C'est que le public n'est ni fou ni injuste.
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