Zitate von Jules Michelet
Ein bekanntes Zitat von Jules Michelet:
Wie soll die Braut sein, arm oder reich? Sie soll sanft, gläubig, lenkbar und vor allem frischen Herzens sein, das Übrige ist Nebensache.
Informationen über Jules Michelet
Historiker (Frankreich, 1798 - 1874).
Jules Michelet · Geburtsdatum · Sterbedatum
Jules Michelet wäre heute 225 Jahre, 8 Monate, 6 Tage oder 82.429 Tage alt.
Geboren am 21.08.1798
Gestorben am 09.02.1874
Sternzeichen: ♌ Löwe
Unbekannt
Weitere 117 Zitate von Jules Michelet
-
C'est là [en Belgique] le coin de l'Europe, le rendez-vous des guerres. Voilà pourquoi elles sont si grasses, ces plaines; le sang n'a pas le temps d'y sécher!
-
Ce blé, au fond, c'est du silex qui s'infiltre dans la plante en fleur et lui donne une consistance, une durée singulière d'alimentation. La France, qu'on le sache bien, est nourrie de caillou. Ce régime lui donne, par moments, l'étincelle, et dans les os une grande force de résistance.
-
Ce livre est plus qu'un livre; c'est moi-même. Voilà pourquoi il vous appartient.
-
Celui qui de sang-froid, pour mieux surprendre le monde, a pu spéculer sur Dieu, qui a calculé combien Dieu rapporte, celui-là est mort de la mort dont on ne ressuscite pas.
-
Chaque homme est une humanité, une histoire universelle . . .
-
-
Chez nous, l'homme et la terre se tiennent, et ils ne se quittent pas; il y a entre eux légitime mariage, à la vie, à la mort. Le Français a épousé la France.
-
Dieu m'a donné, par l'histoire, de participer à toute chose.
-
Diminuer, sans la détruire, la vie locale, particulière, au profit de la vie générale et commune, c'est le problème de la sociabilité humaine. Le genre humain approche chaque jour plus près de la solution de ce problème.
-
Doucement, messieurs les morts, procédons par ordre, s'il vous plaît . . .
-
Elle est sa fille; il retrouve en elle et jeunesse et fraîcheur. Elle est sa sur, elle marche de front aux plus rudes chemins, et, faible, elle soutient sa force. Elle est sa mère, l'environne. Parfois dans les moments obscurs où il se trouble, où il cherche, ne voit plus son étoile au ciel, il regarde vers la femme, et cette étoile est dans ses yeux.
-
Elle n'accusa ni son Roi, ni ses Saintes. Mais parvenue au haut du bûcher, voyant cette grande ville, cette foule immobile et silencieuse, elle ne put s'empêcher de dire: « Ah! Rouen, Rouen, j'ai grand'peur que tu n'aies à souffrir de ma mort! » Celle qui avait sauvé le peuple et que le peuple abandonnait, n'exprima en mourant (admirable douceur d'âme!) que de la compassion pour lui . . .
-
En réalité, quinze ou vingt jours sur vingt-huit (on peut dire presque toujours), la femme n'est pas seulement une malade, mais une blessée. Elle subit incessamment l'éternelle blessure d'amour.
-
France, glorieuse mère, qui n'êtes pas seulement la nôtre, mais qui devez enfanter toute nation à la liberté, faites que nous nous aimions en vous!
-
Honte! infamie! . . . Le peuple qui paye le moins ceux qui instruisent le peuple (cachons-nous, pour l'avouer), c'est la France.
-
Il faut apprendre à mourir.
-
Il n'y a point de vieille femme. Toute, à tout âge, si elle aime et si elle est bonne, donne à l'homme le moment de l'infini.
-
J'ai passé à côté du monde, et j'ai pris l'histoire pour la vie.
-
Je souffre de la barrière que Dieu met à nos désirs. A chaque porte, nous nous trouvons arrêtés presque dès le seuil. Partout nous rencontrons l'impénétrabilité de l'existence individuelle. Nous touchons, nous n'entrons pas.
-
Je suis né peuple, j'avais le peuple dans le cur. Les monuments de ses vieux âges ont été mon ravissement. J'ai pu en 46 poser le droit du peuple plus qu'on ne fit jamais; en 64 sa longue tradition religieuse. Mais sa langue, sa langue, elle m'était inaccessible. Je n'ai pas pu le faire parler.
-
L'alouette a le génie lyrique; le rossignol a l'épopée, le drame, le combat intérieur: de là une lumière à part. En pleines ténébres, il voit dans son âme et dans l'amour; par moments, au-delà, ce semble, de l'amour individuel, dans l'océan de l'Amour infini.