Zitate von August "Johan" Strindberg

Informationen über August "Johan" Strindberg

Schriftsteller, "Das rote Zimmer, "Heiraten", "Der Vater", "Fräulein Julie" (Schweden, 1849 - 1912).

August "Johan" Strindberg · Geburtsdatum · Sterbedatum

August "Johan" Strindberg wäre heute 176 Jahre, 3 Monate, 8 Tage oder 64.381 Tage alt.

Geboren am 22.01.1849 in Stockholm
Gestorben am 14.05.1912 in Stockholm
Sternzeichen: ♒ Wassermann

• C'est bien: je m'humilie devant l'Éternel, qui a daigné s'humilier devant son serviteur. Mais, fléchir les genoux devant le peuple et les puissants? Jamais!

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• Ce n'est pas la victoire que je voulais, mais la lutte.

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• Ceci est un livre atroce. Je l'admets sans objection, car, de l'avoir écrit, j'ai un regret cuisant. Ce qui l'a fait naître, ce livre? La juste nécessité de laver mon cadavre avant qu'il soit enfermé pour jamais dans la bière.

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• Elle ne veut pas être sincère. Elle ne peut pas! Car ce n'est pas dans la nature d'une femme.

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• Famille, tu es le foyer de tous les vices de la société; tu es la maison de retraite des femmes qui aiment leurs aises, le bagne du père de famille et l'enfer des enfants.

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• Il faut toujours étudier la nature des autres avant de donner libre cours à la sienne.

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• Il ne faut jamais se réjouir de sa journée avant d'avoir mis son bonnet de nuit.

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• Je n'ai jamais demandé de venir ici; j'ai bien le droit de m'en aller quand il me plaît.

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• La devise « Omnia vincit amor » ne dit-elle pas que la puissance de l'amour est telle que, si on lui laissait libre jeu, il deviendrait un danger pour l'ordre du monde? C'est un crime d'être heureux: il faut donc que le bonheur soit châtié.

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• La terre est une colonie pénitentiaire où nous avons à subir la peine de crimes commis dans une existence antérieure, et dont nous gardons le vague souvenir dans la conscience qui nous pousse vers l'amélioration. Nous sommes, par conséquent, tous des criminels . . .

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• La véritable beauté ne peut pas être sans bonté - parce que l'expression donne du charme aux traits.

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• La vérité est toujours effrontée.

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• Le dessein de la nature est de dégager de la sensualité l'idée, mais l'art cherche à réaliser l'idée sous une enveloppe matérielle pour la rendre visible.

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• Les fils sont élevés comme s'ils devaient rester des fils toute leur vie, sans qu'on pense le moins du monde qu'ils deviendront des pères.

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• Nous nous haïssons parce que nous nous aimons. Le pouvoir d'assimilation de l'amour est tel que nous avons peur de perdre notre personnalité et chacun de nous éprouve de temps en temps le besoin de rompre ses liens afin de constater qu'il n'est pas l'autre!

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• Nous sommes innocents, mais responsables. Innocents devant Celui qui n'existe plus, responsables devant nous-mêmes et nos semblables.

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• Oui, je suis un homme, et je pleure. Un homme n'a-t-il pas des yeux? N'a-t-il pas aussi des mains, des sens, des inclinations, des passions? Ne se nourrit-il pas, tout comme une femme? N'est-il pas blessé par les mêmes armes, glacé par les mêmes hivers, brûlé par les mêmes étés? - Notre sang, à nous, ne coule-t-il pas lorsqu'on nous pique? Ne rions-nous pas lorsque vous nous chatouillez? Pourquoi un homme devrait-il ne pas gémir? Pourquoi un soldat devrait-il ne pas pleurer? Parce que c'est indigne d'un homme? Pourquoi serait-ce indigne d'un homme?

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• Pour moi qui ne crois pas à l'au-delà, mon enfant était un gage d'immortalité; elle était pour moi la seule chose éternelle.

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• Quand on a vingt ans, on pense avoir résolu l'énigme du monde; à trente, on commence à réfléchir sur elle et, à quarante, on découvre qu'elle est insoluble.

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• Quelle candeur de croire à la chasteté en amour!

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