Zitate von Victor Marie Hugo
Ein bekanntes Zitat von Victor Marie Hugo:
Mein Mantel und ich leben recht gemütlich zusammen. Er hat sich all meinen Kanten angepaßt, zwickt mich nirgends, deckt meine Deformationen zu und gibt jeder meiner Bewegungen nach. Ich spüre seine Anwesenheit nur, weil er mich warm hält. Alte Mäntel und alte Freunde sind dasselbe.
Informationen über Victor Marie Hugo
Schriftsteller, Maler, Politiker, weltbekannt mit dem Roman "Der Glöckner von Notre-Dame" (Frankreich, 1802 - 1885).
Victor Marie Hugo · Geburtsdatum · Sterbedatum
Victor Marie Hugo wäre heute 222 Jahre, 2 Monate, 23 Tage oder 81.167 Tage alt.
Geboren am 26.02.1802 in Besancon
Gestorben am 22.05.1885 in Paris
Sternzeichen: ♓ Fische
Unbekannt
Weitere 409 Zitate von Victor Marie Hugo
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N'as-tu donc pas, Seigneur, assez d'anges aux cieux?
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N'imitez rien ni personne, Un lion qui copie un lion devient un singe.
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Ne rien faire est le bonheur des enfants et le malheur des vieillards.
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Ni despotisme ni terrorisme. Nous voulons le progrès en pente douce.
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Non, l'avenir n'est à personne! Sire! L'avenir est à Dieu!
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Nos chimères sont ce qui nous ressemble le mieux.
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Nos pères avaient un Paris de pierre, nos fils auront un Paris de plâtre.
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Nous avons tous les deux au front une couronne où nul ne doit lever de regards insolents, vous, de fleurs de lys d'or, et moi, de cheveux blancs.
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Nous sommes pour la religion contre les religions.
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Nous sommes tous les deux voisins du ciel, Madame, puisque vous êtes belle, et puisque je suis vieux.
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Ô Lucindes d'amour! Ô douces Isabelles! Eh bien! Sur votre compte on en entend de belles.
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Ô République universelle tu n'es encore que l'étincelle, demain tu seras le soleil.
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Ô Seigneur! Ouvrez-moi les portes de la nuit, afin que je m'en aille et que je disparaisse.
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Ô souvenirs! Printemps! Aurore!
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Ô tristesse! On passe une moitié de la vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.
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Oh! Combien de marins, combien de capitaines qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, dans ce morne horizon se sont évanouis!
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Oh! Demain c'est la grande chose! De quoi demain sera-t-il fait?
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Oh! Je porte malheur à tout ce qui m'entoure!
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Oh! L'amour d'une mère! Amour que nul n'oublie! Pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie! Table toujours servie au paternel foyer! Chacun en a sa part, et tous l'ont tout entier!
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Oh! La muse se doit aux peuples sans défense. J'oublie alors l'amour, la famille, l'enfance, et les molles chansons et le loisir serein, et j'ajoute à ma lyre une corde d'airain!