Zitate von Adolphe Louis Thiers

Informationen über Adolphe Louis Thiers

Politiker, Historiker, Staatsmann, nach dem Zusammenbruch des Zweiten Kaiserreiches 1870 provisorischer Staatschef, unterzeichnet als Präsident der 3. Republik 1871 den Frankfurter Frieden (Frankreich, 1797 - 1877).

Adolphe Louis Thiers · Geburtsdatum · Sterbedatum

Adolphe Louis Thiers wäre heute 227 Jahre, 6 Monate, 18 Tage oder 83.111 Tage alt.

Geboren am 14.04.1797 in Marseille
Gestorben am 03.09.1877 in St.-Germain-en-Laye bei Paris
Sternzeichen: ♈ Widder

• Alles muß ernst, aber nicht tragisch genommen werden.

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• Die Republik ist die Regierungsform, die uns am wenigsten entzweit.
  • Republik

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• Le roi règne et ne gouverne pas. Der König herrscht, aber er regiert nicht.

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• Man soll nie seine Freiheit veräußern und - um nicht in die Lage zu kommen, sie zu veräußern - sie nie mißbrauchen.
  • Freiheit

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• Seit jener Zeit, in welcher Tacitus ihn den Schadtaten der Kaiser Beifall klatschen sah, ist der gemeine Pöbel nicht anders geworden.

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• The king reigns, and the people govern themselves.

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• Dans tout État libre, le premier soin, au moment où l'on va consulter la nation, est d'ouvrir toutes les voies par lesquelles peut arriver la vérité.

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• Faisons donc la République, la République honnête, sage, conservatrice.

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• Il y aura quelques maisons de trouées, quelques personnes de tuées, mais force restera à la toi.

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• La république « tourne au sang ou à l'imbécillité ».

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• La République est le gouvernement qui nous divise le moins.

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• La République, c'est un équitable partage entre les enfants de la France du gouvernement de leur pays, en proportion de leurs forces, de leur importance, de leurs mérites, partage possible, praticable, sans exclusion d'aucun d'eux, excepté de ceux qui annoncent qu'ils ne veulent la gouverner que par la révolution.

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• Le roi règne et ne gouverne pas.

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• On ne parle plus du socialisme, et on fait bien. On pouvait et on devait parler du socialisme lorsque tous les jours, en France, on discutait le droit de propriété, le droit au travail, l'impôt progressif, l'égalité des salaires, le crédit gratuit et illimité. Ces mots sont à présent oubliés chez nous; mais on les prononce ailleurs. Les épidémies morales, comme les épidémies physiques, durent un temps, et, quand elles ont régné dans un pays, passent dans un autre.

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